dimanche 28 février 2016

Caroline de Haas... Hole

Pour pas laisser cette tête de gland de Phillipot tenir la vedette du mois de février sur ce blog, je vais écrire vite fait un billet sur la crise agricole.

J'ai regardé la bio de Caroline de Haas, la nouvelle égérie de l'opposition au gouvernement de méchant socio-libéraux à la solde du MEDEF et je n'ai pas compris pourquoi il y mentionnent que son père a fait une tripotée de mômes à bobonne et qu'il est "gynécologue catholique (Véridique !) Est-ce une façon de dire qu'il se signe à chaque fois qu'il est nez-à-nez avec une foufoune, lieu de toutes les perditions turpides ? 


On se demande par ailleurs, comment la dame aux 0.26% aux élections a réussi à liguer 600 000 signataires dans une pétition contre l'avant projet de loi sur le travail du gouvernement... et tous de gauche !!! J'imagine que dans le tas, il doit y avoir ses anciens potes scouts anti-ivg et anti mariage gay. 

Mais maintenant tout le monde trouve normal que la vrauche mette sa main dans celle des fachos pourvu que ça tape fort sur Hollande.  Même le Figaro défend dans un même mouvement les zadistes de NDDL et les pauvres agriculteurs qui n'en peuvent plus des normes. 

Un monde !

jeudi 11 février 2016

Taïaut !

Dès le lendemain de l'annonce de la candidature de la fille Le pen, Jean-Luc Mélenchon se précipitait devant les caméras pour faire la sienne. Qui a dit hasard ?

Cette synchronisation risible fait suite à la surcharge littéraire politique qui inonde nos supermarchés de la pensée. Le régiment des candidats de la droite qui sortent tous un livre programme pour annoncer leur candidature. On vit dans un pays formidable !

Après six mois seulement de présidence Hollande, la droite s'impatientait déjà. Faut dire qu'ils avaient perdu l'habitude d'être dans l'opposition.  Ils demandaient déjà un bilan aux socialistes alors que ces derniers commençaient à peine le recensement des avanies et des dégâts causés par une décennie d'incompétence notoire et d'amateurisme heureux de Sarkozy et ses sbires. 

Minute papillon!

Toujours dans la précipitation électorale, la Vrauche se joint à la droite dans la partie de tir au pigeon parlementaire, faisant de l'obstruction systématique et niant le moindre résultat positif du gouvernement depuis 2012. Promesses non tenues prétextent-ils : l'opposition est une situation toujours plus confortable que la responsabilité. Les chiens aboient...

Il reste encore 16 mois de quinquennat... une éternité politique ; et les candidats bidon de tout bord se mettent déjà sur la ligne de départ prétendant qu'ils sont capables de faire mieux en prenant soin de ne proposer aucune alternative crédible.  Ils voudraient tout figer pendant 16 putain de mois, endormir le royaume pour venir ensuite venir baiser la belle du même nom qui roupillait dans son bois.


Mais l'électeur lui n'a pas besoin de projet, il veut de la lumière, des paillettes et du vacarme. C'est à cela qu'on le reconnaît.

dimanche 7 février 2016

Le retour de l'adjudant Kronenbourg

Ah revoilà donc l'extrême droite qui range les escarpins bien cirés et rechausse les rangers qui font puer des pieds. Elle revient en force sur le devant de la scène avec l'arrestation du général qui voulait faire un putsch à Bab-El-Calais. Ah, les généraux c'est plus comme avant, dirait la femme à Gégène !  Aujourd'hui, petits bras, ils se promènent avec des poings américains et des flacons de poivre dans leur petit sac à main !

Hou hou ! La maréchale et le Collard sans n, hurlent à l'injustice contre le pouvoir illégitime de Hollande et ses lois sécuritaires abusives qui empêchent le bon citoyen de souche d'aller bastonner quelques pauvres migrants. Le gouvernement qui réprime la volonté populaire jusqu'à interdire les manifs... mais où va-t-on ? Vers la dictature, hein ?

Sommes-nous dans un régime totalitaire avec ce gouvernement prompt à réduire le droit d'expression avec ses lois d'exception et son état d'urgence permanent qui menace la République ? Houlala !  

Nos libertés sont menacées. Dégradons le mobilier urbain, brûlons des pneus, bloquons les routes, déversons du fumier, bastonnons les afghans, jetons des caillasses sur les flics, séquestrons les patrons, déchirons les chemises, zadons, excédons de vitesse, fumez enfants, buvons du pif aux pesticides, déboulonnons les traîtres ! Haro ! Philosophes et sociologues, éditorialistes et chroniqueurs,  intellos et scribouillards, clowns et pitres ! Tous unis pour abattre le tyran social-traître. 

A moi Juppé, Fillon ! 
A moi  les sauveurs de la gauche néo-con.
A moi les cons !


mercredi 3 février 2016

Puñeta

Jean-Luc passe la majorité de son temps à cracher sur le président et le système mais ne refuse jamais une occasion pour aller au banquet de réception de l’Élysée. 

Lui et la vrauche ne contiennent plus leurs coups pour finir d'abattre François Hollande et y mettre à la place un pouvoir de droite. Le gugusse aurait même déclaré que Hollande c'est pire que Sarkozy. Bah voyons! Idiot utile un jour...

Le spectacle le plus désopilant était à voir le jour du départ de Christiane Taubira du gouvernement. Tous les loosers, virés du gouvernement ont refait surface pour insulter l’intelligence de cette dernière en tentant de la récupérer. La garde des sceaux les a ouvertement méprisé en repartant sur son vélo et en réaffirmant son estime au président depuis les States. Fermez le ban !

Pour la galerie Jean Luc, nous a levé un modeste poing révolutionnaire en passant devant les caméras, entre David Guetta, le prince des platines et Virginie Effira la blonde (presque) du même nom. Par ce geste de rebelitude, il nous signifiait qu'il était l'incarnation de  "podemos y no pasaràn" réunis, alors qu'il est juste à l'image de ses compères écolos, schizophrènes, qui ne savent plus trouver leur bites en faisant entrer Pamela Anderson sous les velours pourpres de la République pour dénoncer le gavage des oies d'un côté, et défendre des punks à chiens dans un champ de boue, de l'autre.

En attendant, pas de quoi faire la roue sur le gravier de la cour Élyséenne lorsqu'on pense que Raùl n'est que le résidu d'une idéologie finissante d'un pays où la majorité des habitants ne pensent qu'à se barrer, où on manque de tout, surtout de liberté d'expression. Hasta la victoria siempre !

Clowns pitoyables !

Puñeta : branleur



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