"Désormais, on nous craint !" Julien Bayou, 21/08/2020.
J'en vois quelques uns, au fond de la salle, qui se poilent...
Les écologistes font leur rentrée avec roulements de tambours et sonneries de trompettes. Réunis à Pantin pour leur université d'été, d'où quelques images nous parviennent de majorité d'adultes "blancs" d'apparence plutôt bohème chic, alors que l'endroit est réputé "socialement mixte".
Mais rien désormais ne les arrêtera plus sur leur chemin vers la victoire ! Ils dictent leur mot au socialistes, aujourd'hui en mort cérébrale, et tentent de remorquer le cuirassé Potemkine des Insoumis, qui prend la flotte de partout avec à sa tête son vieux capitaine délirant.
Il a suffi de prendre quelques mairies dans les grandes villes, pour se déclarer invincibles. A Paris l'affaire Girard et les sombres magouilles de la sénatrice Ghali à Marseille, resteront collés à leurs semelles 100% biodégradables pour un bout de temps.
Sans oublier que les habitants des autres "territoires" iront aussi voter en 2022, et ils sont nombreux.
Bon courage !
J'aurais préféré qu'ils disent " désormais on nous aime ". Ils ont envie de nous punir avec leur pseudo écologie. C'est sûr qu'il faut en avoir peur...
RépondreSupprimerLa question est là.
RépondreSupprimerAu delà des chiffres électoraux stricto sensu (régionales de 2019, 13 % des voix pour les verts, soit 3 055 023 voix – pour les municipales 2020, impossible d'avoir un chiffre national incluant covid et abstention), alors que Macron a gagné 2017 avec 20 743 128 voix, on pourra déjà constater l’écart cohérent minimal devant être comblé pour que les verts puisse gagner ou du moins s’approcher d’une présence au second tour, et in fine être craints...
RépondreSupprimerEn clair ?
RépondreSupprimerEn clair, les verts pensent qu'ils font peur car ils seraient en mesure de gagner la présidentielle. A mon humble avis, les chiffres montrent que non.
RépondreSupprimerOn pourra ajouter que les nouveaux élus écologistes et autres vont devoir gérer la rentrée de septembre, et ses suites, où les conséquences sociales et financières post covid seront bien visibles, et qu’il y a deux ans d’ici le vote de la présidentielle.
En plus, celles et ceux qui se sont abstenus en 2020 iront bien voter en 2022, et là, c’est la boule de cristal vus les chiffres des dernières élections, et de l’abstention, qui ont porté les verts (2019 et 2020).
Enfin, moi ce que j’en dis.
voilà. les écolos croient pouvoir mettre à leur remorque les groupuscules de gauche, les mouvements intersectionnels, féministes, islamo-compatibles et autres gugusses infréquentables par le français moyen, ça équivaut à se fourrer dans une bagarre rangées entre ivrognes au petit matin devant un bar .
RépondreSupprimerC'est qui ?
RépondreSupprimerBayou.
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