Du grand guignol, de la pure comedia del arte, du grotesque en technicolor. Silvio agressé qui décide tout seul (certainement sur les conseils avisés et fulgurants d’un coach en communication) de ressortir de sa bagnole pour jouer les fier à bras et surtout se faire flasher pour un tour du monde médiatique. Trop fort il cavaliere ! On reconnaît bien là l’homme de télévision. Une vague de témoignages de sympathie a vite remplacé la tempête de rires moqueurs et de condamnations dues, respectivement à ses frasques sexuelles et ses relations qui apparaissent de plus en plus évidentes avec la camorra.
Pauvre berlu ! Pauvre petit vieux !
Berlusconi en live ? Presque mieux qu'Anita Ekberg à Cinecitta...Mama mia !
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