Dans une tentative à chaque fois renouvelée de donner une image sympathique de son invité, Arlette a encore fait, là où on lui a dit de faire. Son émission télévisée toute à la gloire de « l’actionnaire » est un modèle du genre. Hier, elle a touché le fond. Le degré zéro du journalisme. Il y avait déjà le pathétique Pujadas, qui, pendant le 20 heures quotidien, donne toute la mesure du talent de cette rédaction formée à l'institut des études journalistiques Nicolae Ceaucescu.
Faut-il rappeler que des dizaines de journalistes meurent chaque année dans le monde de manque de liberté et de démocratie. Victimes de leur métier, ils sont emprisonnés car coupables d'enquêter et de dévoiler des affaires impliquant leur gouvernants. Tués pour avoir dénoncé des exactions. Assassinés par des intégristes.
Le dernier rapport de RSF rappelle à tous que leurs combats et leurs sacrifices ne doivent pas être vains.
Quant à Vincent Peillon, une fois n'est pas coutume, je suis d'accord avec lui. Il a eu raison de les planter à la dernière minute. Bien fait ! Les fâcheux doivent se débrouiller entre eux, ils ne doivent bénéficier d’aucun arbitrage extérieur, d'aucune caution. Chacun à sa place . Nous ne débattrons pas !
Ca doit être mon côté réac, mais je n’arrive pas à trouver ça bien de planter les gens au dernier moment… Et je ne suis pas sûr que sa manière de faire soit profitable à la cause qu’il est sensé défendre.
RépondreSupprimerje ne crois pas que Gwendal ait un côté réac. Il se peut, en effet, que le plantage de Peillon soit contre-productif . On le verra bien assez vite les jours à venir. J'ai juste tendance à me réjouir rapidement de tout ce qui peut foutre le bordel chez la droite, c'est tout. Je pense que ça a foutu un peu le bordel, non ?
RépondreSupprimerYes ! Quand même !
RépondreSupprimer