Ce jour béni où Obama a trouvé grâce aux yeux du chroniqueur Bernard Guetta ce matin sur Inter.
C'est ce titre que j'avais choisi pour le billet d'aujourd'hui mais il est un peu long. Il en dit long sur l'abandon et la tristesse dans lequel sont plongés nos chroniqueurs vedettes. Le harassement se distingue dans les propos et la lassitude pointe le nez. Oui, la réalité est peu flatteuse et les faits sont impitoyables : pendant que les uns vont de l'avant et font preuve de stratégie patiente et intelligente pour arriver sans vacarme à des résultats positifs, les autres s'agrippent à des pauvres petits principes érigés en mode de gouvernement et plongent dans la médiocrité et l'arrivisme le plus honteux.
Ce discours devant les étudiants de Columbia et le ton utilisé a été un choc et un vrai crève-coeur . Je me demandais où il fallait rire, et à quel moment il fallait pleurer. Que cette scène ait lieu dans un meeting électoral à trifouillis-sur-seine après un long repas arrosé, passe encore. Mais au States et devant un parterre d'étudiants censés représenter l'élite avec laquelle nos enfants devront traiter plus tard, c'en est trop ! Mais c'est vrai qu'à New-York, personne ne lit la presse française.
A beauf is born.
Il parait que certains chefs d'état se moque de lui, de nous donc...
RépondreSupprimerIls se passent un peu de Sarkozy pour se mettre de bonne humeur, parait-il...
A en pleurer.
Ils ont raison, nous n'avons qu'à bien choisir nos clowns la prochaine fois :^)
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