samedi 6 novembre 2010

Science fiction ?

Le rédacteur en chef du Canard  enchaîné, Claude Angeli y affirme que le chef de l'état «supervise » la surveillance des journalistes. «Depuis le début de l’année, au moins, dès qu’un journaliste se livre à une enquête gênante pour lui ou pour les siens, Sarkozy demande à Bernard Squarcini, patron du renseignement intérieur, la DCRI de s’intéresser à cet effronté.

 Le 18 juin, le juge Trévidic confirme l'existence de rétro-commissions illicites en marge des contrats de vente de sous-marins au Pakistan. Suffisamment pour que l'avocat des familles des victimes de l'attentat, MeOlivier Morice, accuse : "Au plus haut niveau de l'état français, on sait parfaitement les motifs qui ont conduit à l'arrêt du versement des commissions", estime-t-il. Il dénonce par ailleurs l'attitude du parquetqui, selon lui, refuse de donner au juge les moyens d'enquêter. 
Le Monde.fr

De son côté, la Haut commissaire de l'ONU aux droits de l'Homme, Navi Pillay, a jugé lundi "préoccupante" la "nouvelle politique" du gouvernement français envers les Roms "qui ne peut qu'exacerber leur "stigmatisation" et leur "extrême pauvreté"


C'est la nouvelle mode au palais de justice de Paris : certains procureurs prononcent des condamnations avant même que les juges aient débattu des faits. Nouvel épisode de cette curieuse pratique avec les déclarations du procureur Jean Claude Marin à Europe 1, en préliminaire du procès Clearstream.

Le rapport du député PS Pierre-Alain Muet dénonce l'instrumentalisation de l'Inspection Générale des Finances (IGF) dans l'affaire Woerth/Bettencourt.

Challenges.fr


D'après le journal satirique, Nicolas Sarkozy aurait déclaré le 18 mars, devant les dirigeants de la majorité: "Les journalistes, il faut leur marcher dessus, les écraser".

Soucieux de poursuivre son enquête préliminaire dans l'affaire Woerth-Bettencourt, le procureur de Nanterre a rejeté l'idée de confier l'instruction à un juge, comme le lui a conseillé le premier procureur de France, Jean-Louis Nadal. 

Sans crier gare, il annonce la mort du juge d'instruction. Sans prendre de gants, il compare les magistrats à des "petits pois". Mine de rien, il ne se gêne pas non plus pour remettre en question une décision du Conseil constitutionnel. Que ses initiatives irritent les 8300 magistrats du pays, Nicolas Sarkozy s'en moque.


Nous apprenons par la bouche du porte parole de Monsieur Hu Jintao, premier ministre chinois en visite actuellement en France, que le représentant chinois a bien évoqué devant le président français les questions délicates sur la liberté de la presse et de la justice en France. Mr Hu a notamment insisté auprès de son homologue français, nous dit-on,  car cette requête  lui avait été formulée par les organisations internationales des droits et des libertés  suite aux inquiétudes exprimées  en France comme à l'étranger face aux affaires et aux scandales qui secouent ce pays pourtant considéré par le passé comme l'exemple à suivre.

Note de la rédaction : seul le dernier extrait est complétement farfelu et fictif et  n'engage que son auteur .
 

5 commentaires:

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