Tournantes à Damas.

Chacun envoie ce qu'il peut à Damas.

Les russes envoient des armes au régime qu'ils soutiennent, les chinois aussi. 

La France, les USA et l'Angleterre envoient des menaces à Bachar et  veulent envoyer des armes aux rebelles.

L'Allemagne envoie des composants chimiques au pouvoir syrien. 

Tout le monde envoie des djihadistes pour jouer à GTA en direct live et à balles réelles, avec possibilité de gagner 70 vierges une fois franchies les portes du paradis.

Les tunisiens, eux, envoient des petites filles.

Bon, elles ne restent pas vierges longtemps car elles servent de repos du guerrier aux valeureux combattants. Mais je vous rassure tout de suite, le tout est fait dans les règles puisqu'elles sont mariées la seconde qui précède le viol puis divorcées après le lâcher de ballons afin qu'elles puissent servir encore et encore. Un cheik Yerbouti surnommé Arifi a lancé une fatwa bénissant urbite et zobi le procédé. La boucle est bouclée et l'honneur des familles est sauf.

Ainsi on croirait que l'histoire en finit là tellement on atteint  l'ignoble et le crapuleux extrême, mais il n'en est rien.

Étant au courant de la pratique comme la plupart des politiciens arabes, un député islamiste tunisien d'ennahda surnommé à juste titre Habib Ellouz, dont le patronyme donnerait à peu près en français, Chéri à l'Amande, a enfoncé tout ce beau monde au niveau  ignominie en déclarant que son pays adoptera les enfants qui naîtront de ces relations et de ces pères multiples. Un geste humanitaire en quelque sorte.

Avant d'affirmer que l'islamophobie est une construction de l'élite française, il faudra que ces beaux sociologues trouvent aussi les mots pour dénoncer toute cette violence.

Les sales cons.