Claude Guéant a trouvé un extraordinaire passe-temps en attendant son nouveau job après 2012 : il s'est mis à vouloir dépouiller les vieux et leur voler leurs éconocroques. Attention, pas n'importe lesquels ! Ceux qui ont durant les années fastes, travaillé sur les chaînes de l'industrie automobile, trimé dans les champs et sur les chantiers du BTP. Des arabes et des noirs de préférence (nationale). Les fraudeurs sociaux.Le ministre dans sa croisade grotesque contre le basané, voudrait croiser le fichier des étrangers avec celui des fraudeurs sociaux et évoque ces petits vieux dotés de leur maigre retraite bien cotisée et donc bien méritée qui trichent en passant la majorité de leur temps dans leur pays d'origine pour y couler le restant de leurs jours. Pour une fois Claude n'aime pas que l'étranger rentre dans son pays ! Étrange, non ?
Il aimerait renforcer le contrôle sur leurs entrées et sorties du territoire pour éventuellement leur retirer une partie de leur fortune au cas où ils dépasseraient les délais. A ce sujet, on apprend que Liliane Bettencourt réfléchirait à deux fois avant de prendre son jet privé pour se rendre sur son île. Il faut la rassurer ainsi que les joyeux retraités qui se bronzent le cul à Agadir toute l'année, ils ne sont pas concernés car ils sont français.
Pendant qu'il fait les poches des vieux maghrébins, Guéant oublie son vrai job qui est de traquer les délinquants et donner les moyens à ses services pour faire baisser la criminalité et l'insécurité.
Quand la droite entre en campagne elle oublie de se laver la bouche et le cul : il faut que sa campagne électorale sente mauvais. Ses leaders mélangent délinquance, fraude, chômage et immigration comme lors de la grande époque à papa Jean-Marie.
Très chers électeurs : nous voilà !La lala lalala ..la (sur un air militaire bien connu)
Ah, je vous demande bien pardon : Maréchal, nous voilà ! n'était nullement un air militaire !
RépondreSupprimerDidier, je mesure l'étendue de ton ignorance en musicologie , c'est bien une marche militaire. Un de ces airs qui ont surement bercé l'enfance de quelques uns.
RépondreSupprimerJe mesure, moi, votre ignorance tout court : vous pensez que toute marche est forcément militaire, or rien n'est plus faux. Je maintiens que Maréchal, nous voilà ! n'a rien à voir avec l'armée. Et du reste, ça va vous amuser, j'en suis sûr, lisez plutôt ce qu'on en dit sur Wikipédia :
RépondreSupprimer« La musique de Maréchal, nous voilà ! ressemble étrangement à celle d'une chanson socialiste composé par Michel Emer et G. Aubry dénommé Chant de l'avenir, chanson des Amicales socialistes. »
Ah, on fait moins le fier, là, hein ?
Une marche à quatre temps sur système binaire. Il y manque plus que le flonflon ronfloflon.
RépondreSupprimerWikipédia n'est jamais que rédigé par le commun. demain, on pourra corriger wikipédia à la face des ignorants et prétendre que c'était un chant tout ce qu'il y a de socialiste ... forcément Aubry.
Désolé d'avoir remué autant de souvenirs ... et d'espoirs.
Que ce soit un air militaire ou pas, "Maréchal, nous voilà", représente l'hymne national de l’État Français" qui s'est substitué à la République...Et c'est "l’État Français" qui a instauré le statut des juifs en France. Il a également collaboré activement à la déportation des juifs français et il est donc entièrement complice de la "solution finale"
RépondreSupprimerCe n'était pas une question d'opportunisme vis à vis de l'occuppant, celà remontait aux années de crise où en France les possédants gueulaient "Plutôt Hitler que le Front Populaire" et où l'étranger était désigné comme la plaie de tous les maux.
Il serait bien que nos gouvernants se remémmorent l'histoire de notre pays...Mais l'histoire est subsersive, c'est sans doute pour cela que l'on a supprimé les cours d'histoire en 1ère S...
Kalondour, Sarkozy ou l'art de faire du neuf avec du vieux. Bon rappel. Douloureux pour certains ...va savoir.
RépondreSupprimerVous avez raison M. Poireau, tout cela est démoralisant. Quelle belle équipe politique nous avons !
RépondreSupprimerelia, heu ...? mais encore ?
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