Quand on aime, on ne compte pas. Le journal à Dassault désireux d'offrir à ses lecteurs de quoi fantasmer pendant les fêtes, malgré la crise et le matraquage fiscal subi par la classe moyenne versaillaise, ne ménage pas sa peine.
Saurais-tu retrouver les vraies couvertures ?
Rhhaaa l'overdose! :)
RépondreSupprimerDassault a raté son coup : cette fois, c'est vraiment trop visible...
RépondreSupprimer2 couvs c'est déjà trop !
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