Moi vous me connaissez, j'ai le sens des priorités surtout quand il est question d'actualité. Et faut dire qu'elle foisonne autant que l'entrejambe douteux d'une péripatéticienne Moldave à la retraite.
Voyez les amerloques par exemple: la fin de règne du clown Trump demeure pour moi aussi insignifiante que son quinquennat de bouffon. Tout l'intérêt de la pantalonnade se résume en deux bonnes nouvelles finalement.
1- On reconnaît beaucoup plus facilement les amis des droits humains qui, dans un élan commun, main dans la main, iraniens, vénézuéliens, coréen du nord, erdoganiens, poutiniens et autres Xinpingiens triomphant devant l'échec du leader du monde libre et démocratique.
2- Enfin, on se rend compte de l'échec des populistes et de l'expression open-bar dans les réseaux sociaux média, qu'on assimile à tort à de la démocratie. Le bon petit peuple monté contre les élites qui a défoncé le portail des ministères et pillé l'arc de triomphe hier en France, ressemble furieusement à celui qui a envahi le capitole amerloque aujourd'hui.
Mais tout ceci, n'est que vulgaire clapotis devant la tragédie qui a étreint la gauche à l'occasion de l'hommage rendu par Macron à Mitterrand à l'occasion du 25 anniversaire de sa mort. Le PS a donné une preuve de vie en s'élevant contre toute récupération par le félon libéral de la dépouille de leur glorieux leader historique. Même Mélenchon a poussé un couinement outragé, déclarant que "la présence de Macron à Jarnac est écœurante".
C'est vrai. Toute cette récupération est dédjeulasse !
Reste calme ! Quand Mitterrand était président de la République, il avait refusé de prononcer un hommage à l'occasion des 25 ans de la mort de Giscard et c'était tout à son honneur.
RépondreSupprimerC'était d'autant plus à son honneur que Giscard était bien vivant.
SupprimerD'après la rumeur, il était vivant en effet.
SupprimerMême Coty ne s'en était pas remis. Il avait écrit un bouquin , préfacé par De Gaulle révélant toute l'affaire.
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