samedi 20 juillet 2024

Les SEGPA à l'assemblée

Il n'existe nulle part dans le monde médiatique français un seul endroit où on dise du bien de LFI, ça en devient presque caricatural.

Plus personne ne les supporte. 

Le jeu malsain et peu républicain de Mélenchon commence à être dénoncé et pas seulement chez ses adversaires. Il est désormais complètement désinhibé et hors de contrôle L'agacement des alliés devient de plus en plus audible, parfois assourdissant devant son empressement devant les micros pour couper court à toute contestation : les bonnes vieilles méthodes soviétiques. L'hystérisation permanente qu'il impose par l'inconduite de sa petite meute qui lui mange dans la main est à son comble.
 
Faure continue, lui, à se faire piétiner en laissant traiter ses camarades de parti de "punaises de lit", laisse renvoyer comme une malpropre sa candidate pour Matignon sans lever le petit doigt et accepte sans coup férir le refus de la plus élémentaire pratique en démocratie : le vote. 

J'ai entendu dire que les purgés de LFI qui ont rejoint EELV par la suite, s'étaient étonnés devant témoins de découvrir qu'au sein de leur nouveau parti ils doivent voter pour décider de trucs internes ! Hallucinant !

La dernière stupidité, passée en direct mondovision devant les citoyens, et futurs électeurs avertis, c'est le refus ostentatoire de serrer la main à l'assesseur d'âge qui surveillait le vote pour le perchoir, car c'était un RN. Certains de ces résistants en peau de fesse, croyant tirer une légitimité nationale pour avoir été élus dans des cloaques gagnables dans un fauteuil, ont cru malin de nous jouer les Jean Moulin en carton alors qu'ils se juste ridiculisés en se conduisant comme des malpropres. 

Ils ont traîné leur écharpe tricolore dans la boue.

J'ai honte de ces gens.

mardi 16 juillet 2024

Merci qui ?

 

Qu'on le veuille ou non, Macron a redonné aux oppositions une belle opportunité de se ressaisir et de remonter un peu dans l'estime des Français.

Elles devraient être reconnaissantes si elles détenaient la moindre once de sens politique et d’honnêteté intellectuelle car elles sont ressorties triomphantes des législatives après des scores minables aux européennes. Un miracle ?

La dissolution a montré que le RN n'est pas invincible.

Battre le RN est un concept bien sympathique, mais pour ça il faut pouvoir l'affronter. Deux fois battue aux présidentielles par Macron, MLP et son parti se retrouvent fort dépourvus devant le mur des responsabilités. Ils présentent des candidats bidons, un programme établi au doigt mouillé, soumis au gré du vent et reculent devant la responsabilité en réclamant la majorité absolue ou rien. Courage fuyons !

Résultat : ils se prennent encore une branlée. Et de trois.

Au lieu de se remettre en ordre et éviter une défaite en 2027, on voit la gauche continuer à jouer à la cour de récré. Crier partout qu'ils sont vainqueurs tout en oubliant que des gens se sont désistés pour leur céder le passage. Une fois en place, ils n'en veulent plus du pouvoir. Ils n'en veulent plus car il correspond à une réalité bien éloignée de leur programme bidon "jours heureux". Eux aussi ils réclament la majorité absolue pour appliquer "tout le programme et rien que le programme". Facile de se débiner en invoquant la pureté !

Alors ils se balancent à la figure une mamie coco contre une je-ne-sais-qui de la société civile, nous sortent des trucs improbables du type Tondelier avec sa verve de bateleuse d'AG de fac de socio et son charisme d'huître. Une vacuité tellement effroyable que les magazines préfèrent écrire leurs articles et en faire des tonnes sur la veste verte, préférant celle-ci à ce qu'il y a dedans.

Gauche et RN ne veulent pas de leur victoire. Ils nous veulent dans le fracas permanent de la campagne électorale, toujours dans le coup d'après... nous laissant vivre dans une salle d'attente pour 2027.

Qu'ils s'en aillent tous.

mercredi 3 juillet 2024

L'éléphant dans la pièce

Le conclave d'ânes du PS, EELV et PCF s'époumonent à qui mieux mieux en affirmant partout que Mélenchon ne sera jamais premier ministre en cas de victoire de l'ectoplasme NFP.

C'est loin d'être gagné, car non seulement papy coco a couru devant les caméras dès la publication des résultats, avec sous le bras sa caution "vote des quartiers" à keffieh, pour bien pisser dans les coins et montrer qui est le chef. Pas plus tard que ce matin, sa compagne annonçait sans coup férir que ce sera lui ou un autre insoumis, puisque le deal avait été conclu ainsi. 

Quelqu'un ment dans cette histoire. 

Lorsqu'on votait Macron pour faire barrage à l'extrême droite, les gauchistes braillaient à tout va et moquaient les "castors". Aujourd'hui, cet animal assez laid, revient en grâce, porté au pinacle par les mêmes abrutis. 

Faisons barrage alors puisque à présent c'est autorisé, et permettons à Mélenchon de tirer enfin sa crampe sur la république.