mercredi 12 février 2014

Quand Gattaz rime avec gros naze

Quelle manque de tact et de classe ! Le patron du medef se conduit comme un rustre et brise ainsi une tradition de bienséance en lançant une polémique depuis Washington alors qu'il fait partie des invités du président Hollande à la visite d'état.

Faut-il rappeler à ce monsieur qu'il n'est pas seul et qu'il fait partie d'une escorte importante de patrons français invités par le président. Des patrons d'entreprises que le chef d'état honore en les mettant dans son avion pour les USA dans le but de les aider à obtenir et renforcer des contacts susceptibles d'améliorer l'économie française, leurs propres boites par conséquent leur rentabilité.

Gattaz en est quitte pour une honte et un discrédit : honte d'avoir failli dans son devoir de réserve et le discrédit de se désengager de sa propre promesse de créer 1 million d'emplois si les charges familiales étaient sorties du coût global du travail. 

Le Medef jette le discrédit sur les entreprises françaises et renforce l'idée que le patronat ne se soucie pas de l'état économique et de l'emploi dans notre pays.

Il rejoint la droite dans le grotesque et la fatuité de croire que hors d'eux point de salut pour la France.

Les cons.

6 commentaires:

  1. Je pense qu'il va se faire rappeler à l'ordre même dans son camp, le boulet.

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  2. Honte sur lui. Jetons lui des pierres (et récupérons l'or de ses couilles).

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