C'est le constat qui s'impose à la lecture de cet article qui évoque le combat de milliers de patients d'hôpitaux, passés ou présents, contre cette infamante blouse dotée d'une ouverture à l'arrière et dont on vous affuble automatiquement si par malchance vous devez vous faire opérer.
Habituellement, les blouses outrageusement échancrées nous aimions (nous les hommes surtout) les voir portées par de frêles et jolies infirmières au sourire ravageur, histoire d'égayer notre séjour dans ces lieux austères et inquiétants.
Si vous déambulez dans les couloirs des services de chirurgie aujourd'hui, vous risquez de faire face à une méchante raie bien touffue et sans grâce au moindre tournant. Avouez que c'est choquant.
Il y a quelques années, j'ai dû subir une opération chirurgicale et j'ai testé l'habit incriminé et jamais ne m'est venue à l'esprit l'idée que j'avais une raie à défendre et ma dignité de malade à sauvegarder. Faut dire que j'avais d'autres choses à penser... à moins que ce ne soit mon côté exhibitionniste ! Dans tous les cas, je me souviens avoir été un peu décontenancé par cette pratique, mais j'étais content d'aller aux chiches sans me plier ni faire trop de mouvements ... hop et le colis de mémère était vite envoyé !
Alors aspect pratique contre dignité de la personne, je ne sais pas quoi penser. Par contre, je suis persuadé que mis à part le personnel hospitalier et les malades, personne ne devrait se promener dans les couloirs pour mater les raies des patients. Vous en pensez quoi vous autres ?
Sinon mon séjour en Espagne fut court mais intéressant, autant les portugais sont gais, les espagnols sont restés gnols.
Ils ont le karma gnol ?
RépondreSupprimerÀ part ça, je n'ai rien contre la raie publique.
Ouais, mais la raie publique, pendant 10 ans, elle a tellement été au raie gime, qu'on voit à travers !
SupprimerBonne raie ponce !
SupprimerBon ... Moi j'ai perdu ma tatie, le 2 mars. Elle si coquette et si intelligente,avec sa blouse, son cul nul ... et puis après, comme elle est tombée pour aller "pisser", vu qu'elle a appelé et que personne n'a répondu ... elle si belle, si coquette et intelligente, à continuer à essayer de se traîner aux toilettes et à tomber, avec sa couche qui pend et que ça se voit avec "cette blouse ...
RépondreSupprimer83 ans, fille d'artisan, devenue prof d'anglais agrégée, grâce à l'école de la République... Une ficelle pour la sonnette trop loin d'elle pour appeler en cas de besoin ... d'ailleurs infirmières et aide soignantes trop surchargées pour répondre aux appels de la vieille, hein, elle a fait son temps ...
La dignité à l'hôpital dévasté par la réforme hospitalière de 2009, ce n'est pas un petit combat!
Bises Captain
Elle est triste ton histoire. Comme celles où l'on perd ceux qu'on aime.
SupprimerQuant à l’hôpital, il est à l'image ce que seront les services publics : inefficaces et indigents.
La bise aussi.
J'ai eu droit à trois hospitalisations mais j'avoue que sur le coup je ne m'étais pas posé la question. Sinon j'aime bien la raie au beurre noir et aux câpres.
RépondreSupprimerRétrospectivement tu te vois te balader avec ta potence de perfusion avec le cul nu ... et c'est pas très jojo finalement :(
SupprimerSinon, y a la raie poêlée aux champignon et échalotes.
Tant qu'on attend pas trop longtemps dans le transport en commun (la raie de bus).
RépondreSupprimerSurtout à la station raie-au-mur Sébastopol.
SupprimerOh le tee-shirt!
RépondreSupprimerJ'achete!
Désolé G-A il est livré avec la paire de nichons :)
Supprimer(Alors, on ne répond pas au mails des copains sur g-mail ?)
Si
RépondreSupprimerBeethoven n'hésitait pas à écrire en raie-majeure ...
RépondreSupprimerOui, tellement qu'il a fini dur de la feuille :)
RépondreSupprimerC'est pas une raie-son pour se moquer des hospitalisés cul nu dont je fus raie-cemment! Si tu raie-itères ce genre de billet, je me mett-raie en colère tout rouge, on raie-colte toujours ce que l'on sème! ;o)
RépondreSupprimerPow, t'e un peu en raie-tard pour les comments, mais je suis un garçon raie-sonable, je ne t'en tiend-raie pas rigueur ... quoique !
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