Voici la rentrée littéraire et son cortège d'auteurs super bankables dont on devra se farcir le vomi intellectuel et le fatras mental à longueurs d'émissions à "contenu culturel" telles que chez Hanouna, Busnel et Trapenard et autres Barthès, bateleurs et cire-pompes, chargés de vendre du papier imprimé pour clientes d'hypermarchés.
Dans cette cohorte de stars, Eric Naulleau distingue Virginie Despente et lui inflige une critique documentée et hilarante dans cet article criant de vérité sur la gugusse.
Naulleau, que je n'aime pas particulièrement, dézingue avec maestria l'égérie de cette gauche en peau de zob qui continuera tout de même de nous dicter ce qu'il nous faut lire, penser et dire malgré l'abrogation de la redevance audiovisuelle.
( Cliquer sur lire l'illustration, piquée chez un copain écrivain justement ).
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