
Ainsi, la gauche voudrait dissimuler sa faillite en s'accrochant pitoyablement à la bouée de sauvetage de la parole précipitée d'un ministre de l'intérieur qui a cru faire bonne politique en exagérant l'intrusion de quelques abrutis dans un hôpital. Bah... un petit mea-culpa et dans quelques jours, ils trouveront une autre tête dont ils exigeront la démission.
La faillite en croyant que quelques casseurs accueillis sous les applaudissements par les derniers gilets jaunes portés par des militants insoumis et cégétistes pouvaient constituer un argument politique pour s'opposer efficacement au gouvernement et au président. La CGT justement qui a vu son leader exfiltré par la menace jaune et noire et gazer pour avoir cru les utiliser comme un paravent à ses revendications politiques en faisant fi des forces de l'ordre.
De l’esbroufe pour faire oublier les milliards d'euros de pouvoir d'achat que le gouvernement s'apprête à rendre aux français et les prochaines réformes intéressantes qui sont en cours.
De l’esbroufe pour faire oublier les milliards d'euros de pouvoir d'achat que le gouvernement s'apprête à rendre aux français et les prochaines réformes intéressantes qui sont en cours.
Le reste de l'opposition suit la caravane des clowns et oublient que cette fête du 1er mai a été volée aux braves gens par une gauche extrême minoritaire qui a perdu tout crédit et qui s'apprête à se recevoir une volée de bois vert aux prochaines élections.
Mais ils peuvent se rassurer, ils ont bien bossé pour le front national, tout n'est pas perdu.
Ouais, le FN ou RN peut y aller en roue libre, ça bosse pour eux.
RépondreSupprimermalheureusement...
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