Elisabeth Borne, vers la fin de son discours de politique générale, a rendu hommage à Edith Cresson pionnière en la matière et première première ministre socialiste dans l'histoire de France. Sur les bancs de l'assemblée, peu de députés écolos et socialistes se sont levés pour applaudir et se joindre au témoignage républicain rendu à la femme d'état de gauche.
Une bonne partie des socialistes a préféré imiter les insoumis en restant le cul vissé au velours du palais Bourbon.
Ils n'avaient pas prévu le coup, sinon j'imagine qu'ils auraient débattu de l'opportunité de le faire après avoir demandé la permission de leur nouveau maître Mélenchon comme il se doit.
Mais c'est trop tard.
Ceux qui croient encore qu'une résurrection du PS est encore possible ont dû en faire définitivement le deuil. Faure a fini de planter les derniers clous du cercueil de ce parti. Il a offert ses restes à Mélenchon et sa bande de clowns.
La gauche-couille molle dont les reliefs bordent ce groupe d'hystériques allumés, s'est mise ventre à terre allant jusqu'à refuser de saluer l'une des leurs et en assumer l'héritage républicain juste pour ne pas froisser le camarade Jean-Luc. Il semble qu'à ce régime-là, ils devront montrer leur gratitude, remuer la queue et faire papatte à chaque fois que les insoumis lanceront une injonction, des amendements, des abstentions, et des vote contre.
Ils ont déjà commencé avec leur motion de censure prévue contre un gouvernement avant même que sa chef ne prononce son discours. La plus grande préoccupation du petit dictateur est de compter ses troupes tout le temps. Alors, que les socialistes, communistes et verts soient prêts à être éprouvés tous les jours. Ils apprendront à obéir vite et bien sinon leur brevet de gauche leur sera retiré et brûlé en place publique.
Imaginons les Nupes au pouvoir ! J'en frémis !
RépondreSupprimerAucune crainte, ce truc ne finira pas l'année.
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