Dominique de Villepinpin, dit le Galouzeau, avait en son temps mis les autoroutes françaises dans un joli papier cadeau pour l'offrir à des grosses boîtes de BTP arguant qu'il fallait "trouver du fric pour désendetter l'état".
Le saint objectif n'ayant pas pu être tenu par un seul homme, fût-il d'excellente naissance, il n'en demeure pas moins que les bienheureux actionnaires des société privées continuent à faire d'énormes bénéfices tout en profitant toujours d'une infrastructure financée à 100% par le denier public. Mais quand on aime on ne compte pas.
Le journal économique La Tribune, qu'on ne saurait taxer de chiffon bolchévique, nous rappelle au souvenir du marquis-premier-ministre dans un très intéressant article fourbement intitulé "L'état paie l'erreur de de Villepin".
L'état français et ses intérêts auprès des autoroutiers sont défendus actuellement par Ségolène Royal qui ferraille avec difficulté pour atténuer l'augmentation des péages pour le contribuable-automobiliste.
Moi, vous me connaissez. Jamais avare de bons conseils, je me permets d'en glisser un petit au gouvernement et à mon président pour 2017 : ramenez les autoroutes dans le giron national et imposez la vignette annuelle comme en Suisse. Plus de péages. Un seul et unique pour toutes les routes et pour tous. Français comme étrangers. Financièrement, ça doit couter un peu sur le court-terme mais à plus longue échéance, il se pourrait qu'une grosse partie des 40 millions d'automobilistes de France s'en souvienne aux prochaines élections.
Enfin ... je dis ça, je dis rien.
Que le reste de la France se démerde toute seule, la Bretagne ne possède pas d'autoroutes et donc pas de péages
RépondreSupprimerEn Bretagne comme ailleurs, il faudra mettre la main à la bourse.. sinon demandez le rattachement à Guernesey ou à la reine Elizabeth de mes choses.
SupprimerAh non! Pas la vignette! :-)
RépondreSupprimerSisisi une belle vivignette !
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