DSK a fait une violente irruption médiatique, reléguant les rencontres de la droite à une ridicule kermesse paroissiale.
Devedjian estime que tout ceci n'est pas bien grave vu que le parti n'a aucun programme et j'ajouterais: ni candidat valable. De plus, Raffarin a pu démontrer à Luca que le has been ringard a eu raison du président de la république et a remis à l'équerre les pendeloques du gouvernement.
Ainsi va la vie à droite : un dandinement perpétuel entre vacuité et fatuité.
très joli texte !
RépondreSupprimerVous avez tout à fait raison ! Et le plus fort c'est que si vous remplacez “droite” par “gauche”, votre billet reste valable.
RépondreSupprimerOn est bien barré, tiens…
David Burlot, merci.
RépondreSupprimerDidier Goux, pas entièrement toutefois. Faut admettre que la position de challenger de la gauche l'oblige (quelque part) à mettre en place un programme.
Un programme, pas de candidat au PS.
Un candidat, pas de programme à l'UMP.
Le PS se trouvera forcément un candidat, alors que l'UMP sera toujours sans programme.
excellent :)
RépondreSupprimerMelclalex, vous en êtes un autre :)
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