Le petit peuple a les yeux qui brillent devant sa récolte inespérée du jour, des caddies débordant de boustifaille de merde. Des boites de nouilles en vingt quatre exemplaires, des pavés de beurre en veux-tu. Même le dentifrice par douze.
Parfois deux caddies en parallèle, parce qu'il faut nourrir les chats, les chiens. Des kilomètres de pq pour torcher la merde résultant de ce festin inattendu.
Le dernier ? Qu'importe ! Combien ça coute ? On s'en branle car les pauvres n'ont pas d'argent de toute façon. Servez-vous, c'est la maison trouillaga qui régale... vous paierez plus tard comme d'hab.
Quoi, y a plus de "plus tard" ? ben profitez-en pour prendre aussi les barbies et le tracteur pour le dernier pinpin de la portée. Personne pour s'arracher les bouquins ? Bah voyons !
L'humanité pue du cul même sans pénurie de papier hygiénique. Le peuple n'est pas "solidaire", il n'est pas "fraternel"... il fera son festin de fin du monde en rotant, et en l'absence de celui-ci, il cuvera son mauvais pinard en allant dans les rues le lendemain, brûler ce qui reste de ce pays.
Ils se mettront à acheter des livres quand il n'y aura plus de PQ nulle part…
RépondreSupprimerla plupart trouveront là leur vraie destination... ce ne sera que justice.
RépondreSupprimerD'ailleurs pourquoi tout ce PQ?
RépondreSupprimermanger-faire caca, sont les deux activités principales de l'humain qui s'emmerde.
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