Dans son opposition à la loi dite de sécurité globale, la gauche a perdu les dernières miettes de confiance auprès des français moyens, ceux dont le vote massif peut faire ou défaire des élections. Tant mieux.
Non content de crier à tout va que "la France fait la chasse aux musulmans" mêlant volontairement islam et islamisme pour créer davantage de confusion dans l'esprit passablement troublé de la plupart des membres de cette communauté, Mélenchon branche une nouvelle fois le ventilateur à excréments pour tenter d'en vaporiser la vie politique jusqu'au prochaines élections.
Il prend la tête de la maigre opposition à un projet de loi visant simplement à interdire de montrer le visage d'un flic pour le protéger de la vindicte de quelques haineux. Pour cela la méthode est bien rodée : on organise des manifs qui finissent invariablement par de la casse et des exactions, qu'on s'empresse de filmer côté manifestants pour avoir les plus belles images à montrer dans les réseaux sociaux, blogs et médias alternatifs voire médias tout court de gauche. Dans l'attente désespérée d'un tir de flash-ball perdu ou d'une folle matraque pour "prouver" la violence policière de la "dictature".
Mélenchon se trouve trois fois cocu dans cette histoire. Un, il est houspillé et pris à partie dans la manif. Deux, le réveil des jaunes n'a pas vraiment eu lieu, même après les insistants rappels à l'anniversaire des deux ans du mouvement. Trois, la courbe de popularité du "dictateur" Macron s'envole alors que Jean-Luc est donné à 8% pour les prochaines présidentielles. Comme "rempart" à l'extrême-droite, on a vu mieux.
Il a encore donné à voir un beau spectacle de clown de cirque en annonçant sa candidature, devançant tous les autres "camarades". Il a même menti en prétendant que ses amis communistes ont déjà leur propre candidat.
On devrait avoir compris à présent que Mélenchon n'est pas de gauche. Il se revendique lui-même populiste accréditant la thèse portée par Macron selon laquelle il ne restera que les populistes (jaunes, conspirationnistes, intersectionnels, indigénistes, islamistes, trumpistes, adorateurs de Poutine, extrêmes droite/gauche, rebelles 2.0, anti-tout etc...) contre les républicains soucieux de démocratie, d'ordre de progrès et de croissance économique. Thèse tout à fait soutenable vu le tableau politique désastreux de l'opposition.
A force de s'entêter à vouloir défendre délinquants, casseurs et terroristes et en entretenant la confusion, ce type aura vraiment planté les derniers clous au cercueil de la gauche.
Amen et bon débarras.
Ce type est fou...
RépondreSupprimeril est pas fou, il fait tourner sa petite épicerie en faisant croire que c'est un hypermarché
RépondreSupprimerTout à fait d'accord avec toi...
RépondreSupprimer"Vérité" de lundi 23 n'est plus celle de mardi 1er. La retraite la queue base a depuis sonné pour lrem et la Macronie. Cinq ans et ce sera basta !
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