Non contents d'encombrer les places en réa en augmentant la charge de boulot des médecins et infirmiers malgré leurs ras-le-bol et les obligeant parfois à retarder des opérations graves comme celle d'un jeune homme atteint d'une tumeur au cerveau dont la mère a témoigné ce matin sur France info, les antivax donnent de la voix en causant autrement le malheur des autres.
Ainsi, un directrice d'EHPAD avec la complicité du président du conseil d'administration de l'association qui gère l'établissement ont licencié pour faute lourde une employé chargée de contrôler la validité des passes sanitaires des personnels de la maison de retraite.
Le tort de cette dernière, est d'avoir découvert que sa patronne présentait un faux passe sanitaire depuis des semaines et a porté le pet au nveau des autorités compétentes. Virée au motif d'avoir voulu faire son boulot !
C'est du propre.
La dame croyant sans doute qu'à force, son faux passe allait peut-être la prémunir contre la maladie et surtout lui éviter de contaminer des personnes âgées vulnérables que des familles lui ont confiées moyennant une blinde tous les mois.
L'histoire finit bien heureusement, la directrice indélicate se trouve en taule en attendant son jugement.
Dans une vraie dictature il en aurait été autrement, y a qu'à compter le nombre de lanceurs d'alerte en prison.
Le plus grotesque de l'histoire, c'est le président du conseil d'administration qui décide de suivre aveuglément la directrice délinquante. Quoi de plus normal de la part de l'ancien maire FN du Vaudoué, village à moins de 10 km de l'EHPAD en question, lui-même déclaré inéligible après avoir pris des libertés avec ses comptes de campagne.
Toujours les mêmes !
c'est une honte et j'ai vraiment l'impression que c'est toujours les mêmes qui emmerdent le monde.
RépondreSupprimerEmmerder les autres c'est une vocation chez certains. y a des professionnels aussi, parmi ces cons là.
SupprimerLes bras m'en tombent !
RépondreSupprimerouais hein !
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