Dans le dictionnaire des locutions , donner le bouillon de onze heures veut dire inoculer un poison. C'est exactement ce qui arrive avec le nouvel ambassadeur de France en Tunisie. Ce sautillant et grimaçant quadragénaire, a dès son entrée en fonction, empoisonné les nouvelles relations entre les deux pays déjà mis à mal par le pauvre couple ministériel MAM/POL.
C'est un clone, une caricature ! Dans sa manière de toiser les gens et les regarder de haut (?) Dans sa façon de s'adresser aux gens comme à des domestiques.
Fort de sa connaissance de la langue arabe et de son CV d'ancien conseiller, il emprunte au monarque sa morgue et sa façon d'être sûr de lui-même. Il marque son territoire en levant haut la patte, la bouche pleine de sentences qu'il voudrait spontanées et sincères alors qu'elles ne sont que violence et mépris. Bref, un pur produit de l'élite sarkozienne : ignorance crasse et toute-puissance .
Il est tout de même curieux qu'un état éprouve le besoin de rappeler à un enseignant exerçant à l'étranger qu'il est tenu à un certain devoir de réserve et ce, sous peine de sanctions et qui d'autre part, ne lève pas le petit doigt ni ne fait le moindre reproche aux officiels chargés de le représenter à l'étranger.
Après la santé et la justice, la droite invente le droit de réserve à deux vitesses.
Je vois que nous sommes tous les deux d'accord sur les élucubrations de ce soit disant diplomates. Elle est belle l'image que l'on donne de notre pays à l'étranger!
RépondreSupprimerC'était déjà pas fantastique avec G1, mais si nos ambassadeurs s'y mettent aussi, bonjour la dégringolade....
Fort avec les faibles. Faible avec les forts.
RépondreSupprimerCDN, après les magistrats, les diplomates. On attend la révolte des ministres et des députés de la majorité.
RépondreSupprimerElmone, oui.