Certes le guignol qui préside le conseil italien a été élu plusieurs fois et des plus légalement à ce poste, mais il n'en demeure pas moins une incongruité dans un ensemble sérieux et important comme l'Europe.
Il a tout le profil de ces potentats arabes en sursis, qui se sont enrichis de façon outrancière grâce à leur position politique dominante et aux liens intéressés qu'ils ont pu constituer avec d'autres puissances possédantes.
Une toute-puissance médiatique et un contrôle des institutions qui confine au totalitarisme comme l'a démontré l'excellent documentaire d'Arte sur l'ascension de l'énergumène dans son pays.
Certes El Berlusconi n'est pas un dictateur dans le sens où l'entendrait la rue arabe, mais il est entrain de se faire déboulonner comme un vulgaire petit Ben Ali . Sa chute, tout comme celle de son homologue tunisien, il la devra à une femme arabe trop voyante et trop gourmande.
Et son homologue Français ?
RépondreSupprimerPas assez porté sur la zigounette !
RépondreSupprimerQuoi ? IL a glissé sur la peau de tigre au bas de son lit ? Pas possible ?
RépondreSupprimerUn bon débarras, ce type est à moitié fou, j'ai vu qu'il appelait lui-même pour se plaindre d'une émission de télé le soir. Le présentateur de l'émission, certes pourrie, l'avait passé en direct comme un vulgaire téléspectateur et l'autre gueulait au téléphone, la honte pour un président.
RépondreSupprimerEl Camino, la notion de honte s'apprend différemment chez certains présidents, de nos jours.
RépondreSupprimerMHPA, El Berlusconi emportera ses putes lors de sa fuite. Il n'a pas de lingots :)
En Italie un président chute pour s'être envoyé en l'air.
RépondreSupprimerChez nous, un ministre ne démissionne pas mettre après s'être "envoyé en l'air" à deux reprises dans le ciel tunisien...
CDN, bien vu ;)
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