Il n'est guère besoin d'aller bien loin pour goûter la saveur délicieuse des choses interdites afin de ressentir cette montée d'adrénaline, prélude à une frayeur convoitée mais tellement jouissive. L'artiste se croit libre lorsqu'il est recueilli par un bienfaiteur, un protecteur des arts qui dispense ses largesses en dénonçant du doigt du juste, les ignorants incultes. Ko Siu Lan enivrée par sa liberté a involontairement ressuscité le samedi 13 février 2010
L'art ça fait mal à la tête
Il n'est guère besoin d'aller bien loin pour goûter la saveur délicieuse des choses interdites afin de ressentir cette montée d'adrénaline, prélude à une frayeur convoitée mais tellement jouissive. L'artiste se croit libre lorsqu'il est recueilli par un bienfaiteur, un protecteur des arts qui dispense ses largesses en dénonçant du doigt du juste, les ignorants incultes. Ko Siu Lan enivrée par sa liberté a involontairement ressuscité le 
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Visiblement le captain a du mal avec la langue chinoise ! C'est Siu-Lan Ko...Allez hop, deux heures par semaine à partir de lundi !
RépondreSupprimerO-bli-ga-toi-re !
Je m'inscris en faux ami Courtial, bien que je n'ai pas fait chinois en deuxième langue, je vous livre néanmoins, le nom de l'artiste tel que Libé me l'a suggéré .
RépondreSupprimerhttp://www.liberation.fr/culture/0101619215-les-beaux-arts-pries-de-raccrocher-l-uvre-censuree
Merde alors, Courtial obligé de manger son chapeau !
RépondreSupprimerJe crois qu'en fait, le directeur de l'école doit se sentir gagnant: ayant apporté au pouvoir la preuve de sa docilité, c'est son ministre en personne qui prend la responsabilité d'exposer l'œuvre en cause… Du coup, il est soulagé de la pression des artistes et n'a pas mécontenté en haut lieu…
RépondreSupprimerPerfide le Coucou!!!. J'aime néanmoins le raisonnement.
RépondreSupprimerLe directeur aura donc mérité brillamment ses galons. A suivre...
Je réponds à l'injonction placée en marge de ce blog ("passager du grumeau, n'oublie pas de laisser un mot") : ce blog est toujours aussi intéressant que la dernière fois que je suis passé.
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