FMI du pauvre, FMI du riche suite. Le gouvernement Grec prend aujourd'hui des mesures draconiennes pour réduire ses déficits et s'attaque en priorité aux services publics . Quatre départs à la retraite sur cinq non remplacés ! Des grèves massives ont lieu un peu partout, les syndicats annoncent 80% de grévistes.
Les leaders européens ont commencé à comprendre qu'il fallait se remuer un peu et réfléchissent à une riposte concertée car cela pourrait préfigurer d'une situation sociale, comme qui dirait, un peu tendue, si la contagion gagne . Finalement la pression des agences de notations et des financiers a bien fonctionné. Il n'est plus question maintenant de parler de réglementation des échanges, de taxation de la spéculation et de moralisation du capitalisme. On ne parle plus que d'urgence et d'éteindre l'incendie pour éviter la propagation. (cf article du Courrier International)
Je te rends la visite que tu m'as faites ; et je ne suis pas déçu du voyage !
RépondreSupprimer