Les associations féministes doivent faire sauter les bouchons de champagne, le pire symbole de l'oppression féminine et du formatage des petites filles a avalé son extrait de naissance : le papa de Barbie et de Ken n'est plus.
Sans réellement en être conscient, ce zig a aidé à conditionner des générations entières de nanas en les obligeant à focaliser sur des attributs physiques idéaux (selon les canons européens de la beauté) auxquels la femme devait tendre consciemment ou non : blondeur obligatoire et mensurations particulières. Gare à celles qui sortent des clous !
D'autre part, l'idée du produit dérivé a atteint son apogée avec ce personnage de jolie salope en plastique. Barbie possède une voiture rose, des fringues à ne plus pouvoir, des accessoires clinquants, plein de beaux amants musclés de partout et en même temps, une jolie baraque pleine à craquer d'appareils domestiques : bref, un mélange curieux entre la cagole de luxe et la ménagère modèle.
Barbie a aidé à la soumission de la femme et de sa représentation de femme-objet-domestique. Ce n'est pas simplement une poupée, c'est le symbole d'un endoctrinement sociétal et malheureusement survivra longtemps à son créateur.
La guerre se gagne un combat après l'autre : affaire DSK et troussage domestique, ensuite Tron et ses massages hiérarchiques et maintenant le père de la poupée qui disparaît ... rien n'est encore perdu.
Hasta la victoria siempre compañeras !
La guerre se gagne un combat après l'autre : affaire DSK et troussage domestique, ensuite Tron et ses massages hiérarchiques et maintenant le père de la poupée qui disparaît ... rien n'est encore perdu.
Hasta la victoria siempre compañeras !
En plus, Barbie, c'est un nom de sale nazi nauséabond, je vous rappelle : ce n'est sûrement pas innocent non plus.
RépondreSupprimerDidier, je remarque que rien ne t'échappe ! Tu devrais te détendre un peu avec ça ...
RépondreSupprimer"le pire symbole de l'oppression féminine et du formatage des petites filles"
RépondreSupprimerAnalyse ethnocentrique dont la virulence banale masque le silence permanent sur toutes les violences contre les femmes qui n'ont pas la chance d'être victime de la poupée Barbie comme par exemple la burqua, aliénation totale de la femme qui n'est qu'un meuble sans droit.
Grekov, oui cette phrase paraît en effet assez ethnocentrique. Cela dit, faut admettre que la burqa ou tout autre accessoire qui tend à la différencier ou la singulariser ( foulard Hermès, perruque ou enfant dans les bras ) est une forme d'aliénation.
RépondreSupprimerPauv' tites femmes occidentales aliénées ! Je sens que je vais aller verser une larme. (De whisky, et dans mon verre.)
RépondreSupprimerA propos d'ethnocentrisme, Barbie donne aussi l'exemple de la discrimination mercantilo-ethnique. Les Barbies négresses ou asiatiques sont moins chères que les blondes en magasin. Là aussi, un formatage douteux...
RépondreSupprimerRappelons-nous comme les Nuls l'avaient assaisonnée, à juste raison, dans leur parodies publicitaires : Barbie poufiasse.
Didier, j'espère que ton irremplaçable ne lit pas tes commentaires chez moi, sinon tu feras ceinture pendant un long moment.
RépondreSupprimerLa Cdm, tu as raison là-dessus : aucune raison pour que la Barbie blonde soit plus chère que ses cousines noires ou asiatiques, elles ont toutes l'air aussi salingue et pouffes les unes que les autres.
J'ai tellement détesté cette poupée que je ne pleurerai pas son créateur.
RépondreSupprimerJ'aurais dû pleurer le jour de sa naissance !
Impossible d'offrir ce "jouet", je n'ai jamais pu m'y résoudre.
Mais ça m'amuse de dire ça sur un blog masculin ...