Pendant que les grecs se font méchamment dépouiller par les banquiers et le FMI, on apprend au détour d'un article dans les pages caca d'oie du Figaro que la fuite des capitaux des richissimes hellènes bat son plein . Moi vous me connaissez, vous pourrez m'amener l'économiste le plus chevronné de l'université J.M Sylvestre, je persisterai à vous dire que les coïncidences ça n'existe pas, par contre la théorie des vases communicants a bien été attestée et prouvée.
Ce qui arrive à la population grecque préfigure la claque économique que l'Europe subira dans peu de temps si les gouvernements actuels ne se retirent pas les doigts du cul et se décident une bonne fois pour toutes à montrer aux banquiers et aux financiers qui sont les vrais patrons . Car pour le moment tout va dans le sens d'un bon chaos européen qui se réglera comme d'habitude par une guerre (voyez,je suis encore en colère) . En attendant, les grecs et les espagnols devront bosser pour un salaire moyen biélorusse et renoncer à tous leurs avantages sociaux ainsi qu'à leurs services publics .
L'article en question rapporte que 38 milliards d'euros ont fuité du pays depuis un an et demi avec la complicité de l'exécutif, des banquiers et de la Suisse. A ce sujet, je croyais que ce pays a été retiré de la liste noire des paradis fiscaux et mis dans une liste gris clair par notre régulator à talonnettes. Apparemment la pleine collaboration du pays des vaches violettes et du yoddli-yoddla à l'effort de transparence financière internationale n'est pas complétement acquise. La Suisse continue à abriter l'argent des délinquants fortunés et le président du G 20 continue à nous tirer un gros bras d'honneur.
Nous continuerons à renflouer des pays perclus de dettes et vérolés par la délinquance financière juste pour satisfaire l'appétit de banquiers mauvais prêteurs et des politiciens décidés d'en finir une fois pour toutes avec l'étatisme et les protections sociales.
Pendant ce temps-là, les Européens devenus obèses, restent vautrés dans leur petit confort illusoire, incapables de penser et d'aller de l'avant. Ils sont là, imperturbables et cons, spectateurs médusés de leur propre déchéance.
Article très intéressant. La sortie de l'Euro approche à grand pas ?!
RépondreSupprimerDenis, je ne sais pas si la sortie de l'euro est bonne pour ce pays, car ça le laisserait seul devant ses prédateurs.
RépondreSupprimerLes grecs et les espagnols paient pour leur situation géographique. Ce sont les deux pays frontaliers du bloc européen, et pour leur faire jouer parfaitement leur rôle de futurs miradors, il faut les soumettre.
Ben, i manqu'rait pu ksa, qu'on nous supprime la Suisse !
RépondreSupprimerDidier, pas facile d'envoyer le Charles de Gaulle sur le Léman pour maintenir un blocus bancaire sur Genève.
RépondreSupprimerPour tes éconocroques, essaye le Liechtenstein, c'est à un jet de f ... de là.
Désespérant.
RépondreSupprimerRomain, oui. On a déjà un début d'explication de la crise grecque en particulier et la crise globale en général.
RépondreSupprimerOù est passé le pognon ?