Fatigués de nous rappeler qu'en hiver il neige scandaleusement sur les routes qui mènent au tire-fesses des stations de ski, les journalistes ont enfin trouvé de quoi s'offusquer en faisant part de leur dégoût d'apercevoir Patrick Balkany sur un terrain de basketball en compagnie d'un zig duquel il avait pourtant interdiction judiciaire de s'approcher.
La bonne blague.
Comme si pour une simple petite infraction, la justice française va enfin pouvoir sévir sur ce personnage mêlé dans des dizaines affaires de corruption, de fraude, multi-poursuivi et mis en examen.
Notre bonne justice demeure très souvent aveugle à l'égard de politicards vérolés dont le patronyme souvent finit par un "y", alourdie par le glaive des procédures posées là exprès pour différencier un ténor du barreau d'une petite bite de bureau. Notre justice super sexy, cul cambré par le poids de la balance truquée fourguée par une caste, nous tend pourtant tous les jours le goudron et le plumes pour badigeonner la gueule du petit délinquant lambda.
Continue Patrick, chie encore dans les bottes de la justice il reste encore de la place et des journalistes pour pousser des cris de vierges sodomisées.