Je lis assez peu d'essais ou de livres documentaires. Les machins historiques me font chier et les policiers aussi. Je garde en main environ 1 roman de fiction sur 6. Me connaissant mieux que quiconque, j'attribue ça davantage à un manque de patience et de culture de la lecture qu'à une sorte d'exigence ou de d'élitisme littéraire à la con. Mon extraction sociale et ethnique doit y être pour quelque chose, mais je me soigne.
Cet été fut assez morne. Tout comme les 36000 autres communes "fleuries" "station de charme" ou autre "terre de lumière" la France devenue une terre d'appellations d'origine contrôlées, ma contrée a été assaillie par une une horde de beaufs bruyants, bataves, belges et autres septentrionaux au teint allant du blanc laitance d'huître au rouge homard (après cuisson). Les vendeurs de pêches ont aussi vendu leurs melons, les limonadiers fourgué le spritz, les gargotiers leurs steak frites dégueulasse le tout hébergé par des loueurs de puciers sans scrupules.
Mais je ne viens pas pour ça, ni pour le retour des marchands de salades de politiciens, sociologues, sondeurs à la louche et rappeurs islamistes devenus maîtres de conf chez les buveurs d'urine thérapeutique. Encore moins pour l'effarante vision de l'ex-madone de Mougins botoxée de frais se faisant lisser les poils de la touffe dans le sens de la raie par le Jean Luc lui-même !
Je reviens pour conseiller la lecture de ce bouquin.
De salubrité publique !
Une explication simple et bien documentée de ce qui ronge la société dument éclairée de notre pays et précisément de la gauche. Naturellement, pour eux ce ne sera qu'un pamphlet d'extrême-droite écrit par une vile islamophobe.
N'ayez pas peur, lisez Fourest ! Vous ne risquez rien : vous resterez toujours de gauche (mais vous vous sentirez mieux).