Moi, vous me connaissez, j'ai de la suite dans les idées. Alors après un articles sur le grand biélotruc, quoi de plus normal que de parler de Méluche ?
Par la grâce de l'égalité du temps de parole le leader bolivarien du X arrondissement nous asperge abondamment de propos foutraques et incompréhensibles aux moins de 2g d'alcool dans le sang.
Lui confier autant de temps de parole, n'est jamais très bon. Jean Luc ne pratique pas la sobriété du propos car plus il en dit, plus il s'enfonce dans les ronces inextricables de son raisonnement tortueux et maladroit. Un tribun, (ce qu'il croit être) doit limiter le discours et maîtriser la logorrhée, sinon le dérapage guette. Surtout les gens colériques et vindicatifs.
Alors il passe la moitié du temps à s'empêtrer dans son fatras idéologique habituel, pleurnicher, invectiver ou aligner les impératifs lénifiants puis l'autre moitié à justifier ses maladresses et vouloir expliquer son propos car on ne le comprendrait pas.
Ainsi, dans son désir d'entrer dans le blanc costume du justicier anti-Zemmour, il laisse filer un pet antisémite. Voilà un drôle de façon de combattre le gugusse.
Ensuite, il s'attaque au Printemps Républicain qu'il traite de "fanatiques anti-musulmans". Il inverse ainsi la notion de fanatisme en la faisant porter à un groupe qui défend la laïcité.
Pour un type qui passe son temps à engueuler les journalistes en leur criant : comprenez-moi ! Comprenez-moi !
On a bien compris Jean-Luc : il est l'idiot utile de l'extrême-droite et des islamistes.