La vérole populiste qui s'est emparée d'un partie non-négligeable de la représentation nationale et de la presque-totalité de notre cerveau disponible concernant les affaires politiques, trouve un terrain favorable commun à gauche et à droite.
J'ai déjà causé, dans cet excellent blog, des similitudes qui sautent à la gueule de l'observateur doté d'un cerveau moyen comme le tien, tels que la propension de LFI et RN à promettre un ticket à gratter gagnant au bas du plaftard. Récupérer un maximum de fachos fâchés colériques et atrabilaires. Sans oublier leur amour insatiable pour les potentats belliqueux et débiles. Leur goût immodéré pour les subsides publics et la trouille diarrhéique qui règne parmi leurs seconds couteaux.
Aujourd'hui, jour de la Sainte Marthe, obscure frangine de l'illustre marcheur miraculé, nous évoquerons la famille et son poids au sein de ces sectes populardières vagissantes et toxiques.
A gauche : l'arrivée de madame Chikirou (supposée concubine du muchacho supremo ) à la députation. Espérons qu'elle ne facturera pas exagérément au parti, sa première question au gouvernement. Ensuite nous avons le gendre Amard, qui a été élu haut la main au bercail villeurbanais, où parait-il, sa famille a été parachutée depuis le 19è siècle. Dans la famille, on aime les minorités mais on donne l'avantage aux masses laborieuses avec l'arrivée du chauffeur Delogu à l'assemblée après avoir, dit-on, piétiné et utilisé une pauvre jeune militante issue de la diversité chargée de lui rameuter les suffrages d'icelle. En cherchant bien, on trouvera bien d'autres liens distendus dans le groupe LFI.
A droite : le placement familial relève de la tradition et du terroir. Chez Les pens on fait dans la dynastie depuis papy gégéne. Fifille va au charbon et se fait plier en finale en explosant en vol lors du débat final. La nièce ouvre une boîte à cancres et mise sur un canasson miteux. Le compagnon Alliot tente sa chance à la présidence du parti, le petit Bardella se maquerait avec une des petites-filles de Jean-Marie... bref un vrai huis-clos familial. Et faute de faire élire un chauffeur, ils ont pris un garde du corps. J'en oublie certainement.
Qui se ressemble s'assemble dit l'adage. L'assemblée nationale résonnera encore longtemps des rumeurs d'ententes utiles entre les deux camps.
Souhaitons leur une bonne bourre !