Le Bergoglio a conseillé aux Ukrainiens de hisser le drapeau blanc car "lorsqu'on est vaincus, il faut savoir négocier" a-t-il éructé entre deux bulles.
A l'instar du Hongrois, qui a été caresser le gland du débile Trump récemment, nous avons au cœur de l'Europe un autre soutien indéfectible aux camarades popofs.
Le pape tiers-mondiste inscrit la diplomatie du Vatican dans la lignée des grands "pacificateurs" comme le fut Pie douze pendant la seconde guerre. La neutralité ne justifie pas qu'on sacrifie le droit international et une jeunesse européenne qui meurt dans des tranchées d'un autre temps, à un état totalitaire et impérialiste comme la Russie.
Son extraction latino-révolutiono-machin de gauche ferait tendre naturellement son non-alignement vers le soutien à Poutine, car je ne vois pas comment on pourrait qualifier cette sortie autrement.
On a cru avoir atteint le fond après l'appel "au jeûne et la prière" pendant la constitutionnalisation de l'IVG en France. Mais non.