Voilà. Poutine, l'ami de la droite et de l'extrême droite, admiré par l'extrême gauche aussi ne viendra finalement plus à Paris.
Bon débarras !
Bon débarras !
Pour rappel, le gugusse russe devait venir en France, accueilli en grandes pompes par l'état et prêt à se faire cirer les pompes par Mariani le ravi et ses copains pour inaugurer une église orthodoxe (soi-disant) centre culturel. Tout au plus, une nouvelle forme de s'affirmer comme un solide rempart contre l'islamisation de nos contrées sous les yeux attendris de notre opposition.
A l'image de son ancien copain Kadafi, il voulait installer son isba non loin de l'Elysée et promener ses armoires à glace du KGB dans les rues de la capitale pour bien montrer qu'il nous chie dans les bottes, qu'il compisse nos principes laïques, démocratiques et républicains en allant baver sa mauvaise vodka dans les micros bienveillants et les rédactions de Valeurs-Match.
La raison diplomatique étant que môssieur ne voulait pas participer à une table ronde sur la Syrie demandée par Hollande. Naturellement, ce dernier ayant une toute autre conception de l'honneur d'état que son prédécesseur fayot international notoire, a fait en sorte d'obliger Wladimir à repousser la visite. Et il mérite toute mon estime pour ça.
La repousser pour après les élections, car avec un retour éventuel de la droite, il n'aura aucun souci de venir nous marcher sur les couilles devant le monde entier.