Quelque chose de pourri ...

Je croyais que j'allais m'emmerder depuis que la droite n'est plus aux manettes, mais non. 

Bon faut admettre que je ne suis pas très assidu sur ce blog depuis un moment mais j'ai des circonstances : boulot à plein temps cette année (18h hebdo ... le bagne !) puis un déménagement avec chantier à la clé. Mais je ne suis pas là pour raconter ma vie, hein !

Dingue ! Plus le temps passe, plus on se rend compte que nous avons vécu le dernier quinquennat sous l'égide de la fripouille et de la grande arnaque. La boue remonte à la surface !

On apprend coup sur coup que les juges soit disant neutres qui ont arbitré en faveur de Tapie ont vu leurs bureaux trifouillés et passés au peigne fin. La culotte de Madame la Marquise n'en finit pas de tremper dans le pipi de la honte.

Puis, patate ras, que le Qatar aurait rempli les fouilles des dirigeants de la FIFA de beaux biftons puant le gasoil.

Je rappelle que dans les deux affaires, l'ombre des talonnettes de l'ex-président furtivent drôlement. Pour la première, le soutien bruyant apporté par le businessman au candidat  concomitamment au tirage du jaque pote du siècle paraît tout de suite extrêmement douteux. Pour la seconde, les témoignages des journalistes du canard sportif disent clairement le rôle joué par l'ancien coach de l'UMP pour fluidifier les relations entre l'Emirat (des villes) et la fédération.  Et puis nul n'ignore les liens très très très forts qui unissaient les deux hommes dans leur amour immodéré pour tout ce qui brille.

L'amour du Qatar pour la France n'a d'égal que le salaire faramineux qu'il verse aux joueurs du PSG (au moins le budget alloué à l'entretien des jardins du palais de l'émir). Les mauvaises langues disent qu'il fournissait aussi le fouet qui s'abattait contre les maliennes qui avaient le malheur de mal porter le voile islamique dans les rues de Tombouctou ... mais c'est des mauvaises langues.

La suite au prochain épisode.