Quand à gauche au bout de deux ans seulement, une partie des électeurs et des élus socialistes se désolidarisent de l'action du président et se mêlent à ce déferlement insensé et schizophrène contre tout ce qui vient de Hollande.
Cette gauche bobo qui des terrasses des bistros branchouille ne se remet toujours pas du traumatisme Cahuzac et qui ose encore poser la question de la république irréprochable alors que le petit conseiller indélicat a été viré en à peine 24h.
Quand à gauche, la vraie gauche, mêle ses voix à la droite en ajoutant l'invective, l'insulte et le ridicule du bonnet rouge. Une gauche qui pense que les pauvres c'est les prolos et croit que les prolos votent pour elle. Quand cette gauche syndicale qui ne représente plus rien ne propose plus que la menace de manifestations qui malheureusement ne mobilisent plus grand monde.
Quand cette gauche soi-disant "atterrée" mais juste vexée d'avoir été oubliée pour les bonnes places ministérielles, se perd dans des groupuscules genre nouvelle donne et autres think-tank payés dix fois le SMIC, ivre de ses propres mots et n'ayant pour seule perspective qu'une liste aux européennes sensée lui donner un poids pour de futures négociations politiques.
Quand une gauche écologiste qui depuis une trentaine d'années d'existence peine à faire 3 % d'électorat alors que la sauvegarde de l'environnement , enjeu mondial du 21 siècle, devrait en faire un parti incontournable et dont les leaders se comportent comme des adolescents pourris, bouffis d'orgueil et perclus de narcissisme.
Pendant ce temps-là, à droite, après des années de pouvoir où tous les bilans étaient dans le rouge, où la plupart des leaders traînent des casseroles fantastiques, où pour la première fois dans les annales politiques un ancien président est mis sous écoutes judiciaires... pendant ce temps-là à droite 67 % des sympathisants de l'UMP choisissent Sarkozy pour 2017.
La différence est pendant que la gauche doute et se renifle les doigts, à droite on ne pense pas, on ne réfléchit même pas... on attend la réélection de Nicolas.
Merci la gauche et ses pleureuses.
On est d'accord. Ca m'énerve aussi. D'ailleurs j'en ai fait une billet dimanche après midi mais j'étais saoul.
RépondreSupprimerA propos de Morelle, ils n'ont pas compris que le truc grave n'est pas le délit d'initié : de toute manière, comme tu dis, il a été viré en 24 heures. Le truc grave, ce sont les pompes parce que cela donne une image désastreuse. Ainsi, toutes ces pleureuses se sont lâchées sur le mauvais sujet.
Et sur chaque sujet, c'est pareil. Tu prends le plan de Valls, les mecs hurlent or ce plan a un seul problème : les petits revenus qui pourraient être touchés, alors qu'en larguant cinq milliards tout sera réparé...
On est d'accord. Ils brandissent la fausse menace d'un vote FN alors qu'ils ne font qu'aider l'UMP à remonter sur scène. Branquignols qu'ils sont .
RépondreSupprimerChez ces gens là, on ne pense pas monsieur, on ne pense pas...on prie
RépondreSupprimerLa foi sauve.
SupprimerJe croyais qu'on était deux, mais on est trois. çà rassure.
RépondreSupprimerBientôt notre nombre croîtra et se multipliera.... comme les petits pains de Jesus.
Supprimeravec moi on est quatre.
RépondreSupprimerOn vient d'évoluer de groupuscule à faction ! Gloire !
Gloire à nous ! Bientôt on pourra former une équipe de football :)
Supprimerje ne joue pas au foot (dommage), je pleure rarement. Mais je vais continuer à râler et jouer à la pleureuse dans la bonne humeur et tout le toutim. Blague à part (j'étais pourtant sérieux), un petit billet de riposte fait toujours du bien même si je ne partage pas ta position générale.
RépondreSupprimerJe suis largement d'accord sur la durée nécessaire à l'action politique. Mais il n'y a pour mon humble personne aucune espèce de raison d'être davantage patient sur les sujets socio-écolo que le redressement des comptes publics.
amitiés
Je comprends l'impatience. Notre lecture de l'action politique est différente de la majorité des français qui ne s'intéresse pas ou peu aux actions socio-écolo qui sont par définition de long terme et ayant peu de visibilité médiatique au niveau résultat. Les soi-disant questions économiques sont davantage mises en avant, les gens y sont plus sensibles bien qu'il n'y connaissent que dalle et que généralement ont peu de conséquence sur leur vie quotidienne.
RépondreSupprimerNous étions impatients de virer sarko... aujourd'hui relax !
Pour ma part, je laisse faire et je fais confiance.
Mon amitié aussi.
Je suis un peu comme toi, oualà!
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