A force de dire qu'ils ne s'attendaient à rien et qu'ils seront forcément déçus, les nains politiques qui composent l'opposition politique ont fini par avoir raison.
D'ailleurs, hier sur Inter, le grotesque a été franchi allègrement par le journaleux du soir qui invitait les têtes de gondoles de ceux qui "ont eu raison de rien attendre" à manifester leur triste satisfaction alors que la conférence de presse était encore loin d'être achevée.
Leur impatience à passer pour des cons m'impressionne.
Leur impatience à passer pour des cons m'impressionne.
Cela résume bien la situation. Nous sommes face à des hommes et des femmes à qui la haine interdit toute forme de réflexion. Elle leur obstrue les yeux et les oreilles, ne laissant que la bouche pour jouer au Nostradamus de bistrots.
L'opposition a encore de grands jours devant elle avec ces clowns... on a pas fini de rigoler.
Ils peuvent continuer à se taper le ventre devant les médias en affirmant que "hein, on vous l'avait bien dit..." en faisant tourner le moulin du yakafocon ou bien en faisant croire qu'une poignée d'émeutiers représentent le peuple.
Un conseil : s'ils ne veulent pas être déçus, qu'ils fassent élire le père noël.
C'est pas gentil de se moquer de Nostradamus parce qu’il a été un écrivain utile dans la littérature française : il a écrit un traité sur la fabrication des confitures.
RépondreSupprimerPour le discours et surtout pour les commentaires, j'ai réussi à y échapper. Invité à un pot de départ à la retraite.
Les réactions étaient tellement prévisibles...
Départ à 61 ou 62 ans ?
RépondreSupprimerLui, à 62 mais il me semble avoir entendu parler de décote.
Supprimerargh !
RépondreSupprimerPlus personne ne croit à rien, c'est terrible.
RépondreSupprimercrise de foi...?
SupprimerLe dimanche je suis désormais sur mon vélo!
SupprimerJe sais et je t'admire... moi je me contente de 4 km de footing deux à trois fois par semaine en rêvant d'une longue marche vers le Portugal, là-bas.
SupprimerJ'irais aussi un jour, voir la belle-mère (l'excuse)
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