La saison estivale s'englue dans le morose comme si mes touristes de mes deux se sont crus obligés d'aller parcourir des bornes juste parce qu'il le fallait, car après le confinement vous comprenez, on a envie de prendre l'air.
Une nouvelle importante est pourtant passée à la trappe : le décès de Jiji Lionel.
J'en vois au fond qui font des huit avec leurs lotos exorbités et qui fument par oreilles. Jiji qui ça ? Jiji bordel ! Jiji Lionel le chanteur de la danse des canards. Bon il se raconte qu'il n'en a écrit ni les paroles mémorables ni la musique à chier, mais Jiji le Belge s'est fait les claouis en jonc massif.
Il avait raison Bernard-Henri Onfray que le monde d'après viendra à la suite du monde d'avant sans oublier une halte binouze dans le monde présent. C'est toute une époque qui fout le camp avec la mort de Jiji. Putain !
Avec ça, on a même pas de tube de l'été cette année pour cause de covide. Nulle mélodie sur laquelle se trémousser le fion dans les dance-floor poussiéreux des campings deuzétoiles, juste le droit de faire un aller-retour passage au péage histoire d'y raconter aux copains de bureau qu'on a été quand même en vacances avec maman et les chiards car on est des oufs de la life.
Rendez nous le tube de l'été !
RépondreSupprimerrendez nousl'été
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