Bojo le clown pitoyable a baissé son froc et refuse d'endosser le Brexit dont il fut un des initiateurs. Il a opéré un revirement mémorable et renonce à remplacer Cameron.
Il est à l'image des beaufs qui l'ont soutenu, effarés devant ce cadeau encombrant qui leur tombe du ciel. On dirait un électeur de Menard qui trouve un bouquin sans images à colorier sous son sapin.
Du coup les angliches se font niquer au foot, se font larguer de l'Europe et ne trouvent plus personne pour nettoyer les chiottes.
J'adore ces cons !
Les pauvres...
RépondreSupprimerPauvres... mais ils ont une reine. Nous on a Carla Bruni et elle ne sait même pas faire des multiplications (à ce qu'il paraît)
SupprimerNon mais pour les pipes elle se défend (à ce qu'il paraît).
SupprimerIl a du fion le Nicolas !
SupprimerHabituellement ce sont des cons prétentieux. Depuis quelques jours, ce sont des cons tout courts, pas certain que ça améliore leur image.
RépondreSupprimerOui, ils font moins les malins.
SupprimerC'est amusant et très curieux, cette rage haineuse de celui qui reste enchaîné à sa gamelle pour celui qui a réussi à prendre le large.
RépondreSupprimerLa large vers des horizons incertains voire hasardeux.
Supprimer« La large vers des horizons incertains voire hasardeux. »
SupprimerVoui, voui, voui… S'il n'y avait eu que de petits frileux dans votre genre, des âmes de fonctionnaire, au XVIe siècle, Vasco de Gama aurait été employé des postes, Magellan délégué CGT des cheminots et Colomb responsable du service informatique d'un ministère inutile.
N'allez pas me comparer d'ignares baffreurs de fritures, trompés par des vessies politicardes à des lumineux explorateurs. Ce qui me navre, c'est bien l'insalubre naïveté crassouille du populo... sans compter votre propre potentiel de trollage. Voui, voui donc.
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