Bon, je vous avertis, depuis que j'ai fermé mon compte twitter, je vais revenir en masse sur ce blog qui avait tendance à festonner ses toiles d’araignées dans les coins. Ce n'est pas à vous, déjà abrutis par ce média qui n'a rien de social, que je vais apprendre que cet oiseau bleu de malheur ne draine que des enculés de leurs race qui en 140 caractères vous expliquent pourquoi il faut tant détester son prochain. Une autre partie s'employant avec précaution à se mater le cul devant une glace en se tapant une bonne pignole.
Comme je suis pour l'apaisement et la concorde, je prend mon temps pour tenter de vous expliquer pourquoi il faut piétiner les cons de tout bords, comme je le fais si bien depuis 2009 (putain 7 ans !)
Voilà donc une occasion inespérée pour moi de donner suite à mon précédent et brillant billet tant ces bœufs rosâtres aux dents chevalines sont prévisibles.
1- Ces cons se demandent s'ils ont bien fait de donner leur précieux avis dont finalement tout le monde se fout. Faut toujours remettre les décisions importantes au lendemain de cuite. Aujourd'hui les classes "populaires" se demandent pourquoi Nigel Farage se retrouve dans leur lit le lendemain de grosse murge de promesses de fortunes redistribuées en fish and chips à volonté et écran plats 4mX3 (oui laisse, j'adore la caricature).
2- D'ailleurs ce con d'ancien trader à qui il ne manque que la dentition tabagique et une moumoute blondasse pour ressembler à la fille à son papa borgne l'annonce dès le lendemain, et partout : Ces cons de pauvres, sont vraiment cons !"
Voilà.
Les anglais l'auront dans le fion bien profond, mais ils pourront se consoler d'avoir une belle couine qui se pavane dans un carrosse en or et un premier ministre qui a une tête de brosse à chiottes.
Ils sont comme ce type qui voyant une bûche dépasser du tas de bois, en dessous, tire dessus et le tas de bois lui tombe sue la figure. Avant l'action il doit y avoir le tempes de la réflexion. Ce pauvre Cameron ne doit pas être un spécialiste du billard à 3 bandes...
RépondreSupprimerCameron a fait comme Sarko à son époque, en voulant siphonner les voix de son extrême, il s'est fait juste niquer sur la corde.
RépondreSupprimerVoilà un bon billet bien grossier comme j'aime!
RépondreSupprimerJe suis reviendu !
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