A force d'être invité sur tous les plateaux télé et faire la dinette avec ministres et président, le gugusse en question développe une maladie pas si rare chez les personnes fragiles : le melon.
Sans aucune précaution ni préalable, le président du conseil scientifique, instance consultative comme tant d'autres, annonce, préconise, décide tout de go parlant des plus de 70 ans, des gens fragiles, diabétiques, cancéreux, obèses etc... : "Je suis extrêmement clair : si on n'a pas les pré-requis, il faut rester confinés".
18 millions de Français. excusez du peu !
Les médecins (et j'en connais beaucoup autour de moi, famille comprise) ont la fâcheuse tendance à vous regarder comme un malade en puissance et un cadavre potentiel. Avec un manque de tact et d'empathie presque naturel, ils vous étouffent avec leurs 10 ans d'études dans un domaine touchant au plus profond du fond de votre trouille la plus bleue : votre santé.
Avec Delfraissy le péremptoire, on en est quasiment à la caricature du toubib qui cause à son patient à la troisième personne : "alors elle a quoi aujourd'hui la dame ?" "Où est-ce qu'elle a mal?" " Elle s'allonge et donne la papatte".
Je ne suis pas loin de partager l'opinion coup de gueule d'Alain Minc (pour cette fois-ci) :
"Je crois qu'on est en train de perdre les pédales..."
"pense qu'il faut savoir prendre une certaine distance vis-à-vis du pouvoir médical", d'autant qu'on "parle
d'une science qui m'a l'air très aléatoire en termes scientifiques,
parce que pour des raisons légitimes, il y a très peu de choses que l'on
sait."
"Il faut quand même penser à tous les dégâts que aussi, au nom de cette lutte légitime contre le virus, on est en train de faire"..."il faut, à un moment donné, arbitrer entre des contraires. C'est un arbitrage incroyablement difficile. Le seul pouvoir qui est légitime, c'est le pouvoir démocratiquement élu, c'est à dire le pouvoir politique. Les médecins doivent donner leur avis. Ils ne sont pas le pouvoir de décision", les "ayatollahs de quelque discipline que ce soit, les banquiers, les économistes, les prêtres, les médecins n'ont pas lieu d'être, d'occuper le pouvoir."
"Il faut quand même penser à tous les dégâts que aussi, au nom de cette lutte légitime contre le virus, on est en train de faire"..."il faut, à un moment donné, arbitrer entre des contraires. C'est un arbitrage incroyablement difficile. Le seul pouvoir qui est légitime, c'est le pouvoir démocratiquement élu, c'est à dire le pouvoir politique. Les médecins doivent donner leur avis. Ils ne sont pas le pouvoir de décision", les "ayatollahs de quelque discipline que ce soit, les banquiers, les économistes, les prêtres, les médecins n'ont pas lieu d'être, d'occuper le pouvoir."
Je ne regarde pas beaucoup la télé, il sévit sur quelle chaine ce docteur?
RépondreSupprimeril est partout ce con
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